Difficile de parler d’arts traditionnels d’Okinawa sans aborder le Bingata. Cette étoffe est décorée à l’aide d’une techni-que de teinture particulière qui se développa au XVème siècle dans l’archipel, alors qu’il appartenait encore au royaume de Ryûkyû
Dans cette préfecture, la plus au sud du Japon, les marques laissées par la vie semblent moins affecter les habitants. Centenaires dans la fleur de l’âge et coutumes multiculturelles s’unissent à Okinawa en un tableau bicolore : le vert des forêts subtropicales et l’azur des eaux cristallines.
Comme tant d’autres rituels japonais, le yabusame fait partie d’un héritage ancestral. Du temps où les samouraïs avaient encore des raisons de se battre, certains partaient en guerre sur des chevaux.
Le Taiko est un tambour japonais traditionnel, sculpté dans le tronc d’un seul arbre, choisi avec une grande minutie pour offrir au joueur ces sonorités profondes et percutantes qui permettent d’évoquer toute une gamme d’émotions. C’est le groupe Paris Taiko Ensemble, mené par Tulga Yesilaltay, qui présente une démonstration de Taiko lors du 34e Festival des Arts Martiaux. Avec chaque morceau, Paris Taiko Ensemble peut raconter une histoire à chaque fois différente, interprétée avec une énergie musicale et une gestuelle particulière liée à la position naname (inclinée) du taiko qui permet une plus grande liberté de mouvement.
Les objets en verre, qui plus est, les couleurs vives des verres Edo Kiriko, peuvent déstabiliser les visiteurs en quête d’un objet japonais traditionnel.
Le sumo est une lutte ancestrale opposant deux adversaires sur un tertre d’argile. La première mention du sumo se trouve en effet vers l’an 712. A l’époque, les japonais le pratiquaient pour obtenir la faveur des dieux afin de moissonner de bonnes récoltes. A partir du 17ème siècle, le sumo s’est transformé progressivement en spectacle populaire. Cependant, le Sumo est bien plus qu’un simple sport, c’est un retour dans le monde des traditions et de l’âme du Japon.
Aujourd’hui très populaire, les occidentaux en ont détourné l’usage pour en faire un must-have dans leur garde-robe. Mais au-delà du simple habit, au Japon le kimono est porteur de nombreuses significations et d’une histoire vieille de 14 siècles.
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