Cérémonie du thé
La Cérémonie du thé, un monde où le raffinement suprême côtoie la simplicité extrême
La Cérémonie du thé, un monde où le raffinement suprême côtoie la simplicité extrême
Difficile de parler d’arts traditionnels d’Okinawa sans aborder le Bingata. Cette étoffe est décorée à l’aide d’une techni-que de teinture particulière qui se développa au XVème siècle dans l’archipel, alors qu’il appartenait encore au royaume de Ryûkyû
Comme tant d’autres rituels japonais, le yabusame fait partie d’un héritage ancestral. Du temps où les samouraïs avaient encore des raisons de se battre, certains partaient en guerre sur des chevaux.
Les objets en verre, qui plus est, les couleurs vives des verres Edo Kiriko, peuvent déstabiliser les visiteurs en quête d’un objet japonais traditionnel.
Le sumo est une lutte ancestrale opposant deux adversaires sur un tertre d’argile. La première mention du sumo se trouve en effet vers l’an 712.
A l’époque, les japonais le pratiquaient pour obtenir la faveur des dieux afin de moissonner de bonnes récoltes. A partir du 17ème siècle, le sumo s’est transformé progressivement en spectacle populaire. Cependant, le Sumo est bien plus qu’un simple sport, c’est un retour dans le monde des traditions et de l’âme du Japon.
Aujourd’hui très populaire, les occidentaux en ont détourné l’usage pour en faire un must-have dans leur garde-robe. Mais au-delà du simple habit, au Japon le kimono est porteur de nombreuses significations et d’une histoire vieille de 14 siècles.
Les samouraïs : sources d’histoires fascinantes, figures emblématiques du Japon et exemples de droiture. Tantôt inquiétants, tantôt impressionnants, ils protègent leur anonymat sous leurs effets de guerrier si singuliers.
Le yukata est un des vêtements traditionnels du Japon. Avec sa coupe droite et ses longues manches, il se rapproche du kimono. Il n’a cependant pas du tout la même utilité. Conçu dans un tissu plus léger, il était autrefois utilisé dans les onsens.
« Bon-saï » est un mot japonais qui signifie « planté dans un pot ». À l’origine chinoise, cette tradition consistait à prélever des arbres dans la nature pour les mettre en pot. Elle s’est exportée au Japon il y a environ 700 ans.
Les objets en laque japonaise possèdent une histoire particulièrement longue. L’urushi, ou laque, est un vernis fabriqué à partir de la sève du sumac japonais.